Stefanos
Stefanos
Première apparition en 1999 • Pic de popularité en 1999
Signification et Origine
Signification
Le prénom Stefanos vient du grec ancien 'Stephanos', signifiant 'couronne' ou 'couronné'.
Origine
Grecque
Prononciation
Ste-fa-nos
Histoire et Culture
Signification religieuse ou spirituelle : Dans le christianisme, Saint Étienne (Stefanos) est considéré comme le premier martyr.
Importance historique : Le prénom a été porté par de nombreux rois et figures importantes dans l'histoire de la Grèce et de l'Église chrétienne.
Célébrations ou fêtes associées : La fête de Saint Étienne est célébrée le 26 décembre dans le calendrier chrétien.
Impact culturel : Stefanos est un prénom courant en Grèce et dans les communautés grecques à travers le monde, symbolisant l'honneur et la dignité.
Traditions liées au prénom : Des traditions de célébration incluent des rassemblements familiaux et des repas spéciaux pour la fête de Saint Étienne.
Évolution de la popularité
Nombre de naissances par année
Le prénom Stefanos a connu une popularité croissante en Grèce depuis les années 1990.
Personnalités Célèbres
- Stefanos Tsitsipas, joueur de tennis grec.
- Stefanos I. S. Papadopoulos, homme politique grec.
- Stefanos Karampetsos, poète et écrivain grec.
Traits de Caractère
- Forte personnalité
- Détermination
- Sens de la justice
- Charisme
- Ouverture d'esprit
Variantes et Dérivés
Questions Fréquentes
Quelle est la signification du prénom Stefanos ?
Stefanos signifie 'couronne' ou 'couronné' en grec ancien.
D'où vient le prénom Stefanos ?
Il vient du grec ancien et est lié à la tradition chrétienne.
Quelle est la popularité de Stefanos ?
Stefanos est très populaire en Grèce et dans les communautés grecques à l'étranger.
Y a-t-il des traditions associées au prénom Stefanos ?
Oui, des célébrations sont organisées pour la fête de Saint Étienne, incluant des repas familiaux.
Quels sont des personnages célèbres portant ce prénom ?
Des figures comme le joueur de tennis Stefanos Tsitsipas et des hommes politiques comme Stefanos I. S. Papadopoulos.